Gestion de ressources humaines dans les départements principaux des théâtres nationaux


Stamatis Gargalianos

Associate Professor – University of Western Macedonia

Résumé

Dans les lignes qui suivent est présenté et analysé le fonctionnement des principales directions d’un théâtre national par rapport à la gestion des ressources humaines. Il faut souligner, avant tout, que ces divisions administratives n’existent aucunement dans le domaine du théâtre privé. Rappelons également que le titre de direction appartient à trois de ces divisions, celle du personnel, celle de l’économie et celle du secrétariat général: si les services techniques ou ceux de la scène, sont couverts par ce même titre, ceci ne se fait que par euphémisme. Nous parlons ici des directions du Protocole et de l’Economie, deux services qui aident énormément au bon fonctionnement des théâtres nationaux.

Mots clefs: Direction, Ressources humaines, Gestion, Théâtres, Etat, Protocole.

Le  protocole

Le protocole est un service qui sert à l’enregistrement officiel de toutes les propositions qui s’adressent et concernent le théâtre national et qui sont de trois types (distinction selon la direction des propositions):

A. Soit il s’agit de propositions qui viennent des citoyens ou organismes et s’adressent au théâtre.

B. Soit il s’agit du contraire, c’est-à-dire des propositions du théâtre national qui s’adressent à des citoyens ou des organismes tiers.

C. Soit il s’agit d’actions qui se font dans le théâtre national et concernent les relations interdépar­tementales du théâtre.

   Ce  service est une caractéristique de tous les services publics de Grèce  et les théâtres nationaux ne pourraient pas faire exception parce qu’ils sont, en premier lieu, des services publics. En d’autres termes, ceci signifie que,  puisqu’un service public utilise annuellement des sommes d’argent plus ou moins considérables, non seulement pour son fonctionnement interne mais aussi pour ses finalités, il doit enregistrer toute action qui se fait à l’intérieur de l’établissement, pour d’éventuels contrôles officiels de l’Etat, ou même encore des citoyens.

   Ainsi les théâtres nationaux grecs qui dépensent des sommes d’argent  importantes, doivent également entretenir ce service administratif. Plus précisément ce ser­vice est un livre officiel intitulé lui aussi protocole et il est tenu par un seul employé. Cette personne, selon le règlement officiel du théâtre, doit être un employé de type fonctionnaire puisque la majorité des demandes sont confidentielles et un employé du type “indéterminé” ne pourrait pas -selon ce même règlement- garantir le secret.

En ce qui concerne le livre, il est divisé en plusieurs colonnes et lignes.  Chaque ligne -ou plutôt inter­ligne- correspond à une seule demande ou proposition. Chaque colonne figure une caractéristique ou un détail de la demande, comme par exemple le nom de la personne qui la fait, son adresse,  le contenu de la demande, la date de son dépôt, etc.

Les trois types de propositions (ou plutôt ac­tions) qui passent à travers ce  service sont, en analy­se plus détaillée, les suivants:

A. lorsque les citoyens  -y compris les artistes-  ou même les personnes physiques ou morales, du droit public ou privé, font une demande auprès du théâtre.

Dans ce cas il y a les subdivisions suivantes:

a. Propositions ou demandes artistiques.

1. La proposition d’un auteur ou traducteur qui donne une ou plusieurs de ses oeuvres à la commission artistique, afin qu’elles soient montées par ce théâtre.

2. La proposition d’un metteur en scène qui de­mande à mettre en scène une pièce de théâtre.

3. La proposition d’artistes d’autre type  -comme les décorateurs, les musiciens, les chorégraphes- qui demandent ou proposent leur participation dans un spec­tacle.

4. La demande d’un acteur  -le cas le plus répan­du-  qui veut s’intégrer dans la troupe des acteurs du théâtre national.

5. La demande d’un organisme tiers pour un lieu souvent une salle de   spectacles- qui peut être louée ou parfois aussi, donnée gratuitement.

6. La demande d’organismes ou troupes artistiques pour divers objets scèniques ou costumes, qui sont, dans la plupart des cas, prêtés. Ces objets sont destinés à être utilisés dans une série de représentations de ces troupes, amateurs ou, rarement professionnelles.

b. Propositions-ou demandes, financières ou admini­stratives.

1.  La demande d’un collaborateur extérieur, appelé “entrepreneurs”. Cette catégorie de profession travaille dans un service public pour une durée déterminée, après la fin de laquelle, elle est obligée de le quitter. Il propose ses services en qualité d’entrepreneur. Ces types de travaux sont, dans la plupart des cas, techniques et dans de spécialités qui n’existent pas dans un thé­âtre national  (verrier, constructeur de “plexiglas” etc.)

2. La demande d’un organisme qui veut collaborer avec le théâtre national, au niveau administratif ou social (le travail en commun avec un groupe de personnes)

B. Lorsque c’est le théâtre qui fait une demande auprès d’autres organismes.

Un théâtre national entretien une multitude de contacts avec un grand nombre d’organismes ou institutions, tout au long de l’exercice de ses fonctions. Ces contacts peuvent être divisés, comme ceci est le fait dans le cas précédent, en deux catégories:

a. Propositions ou demandes artistiques.

1. La demande  d’un lieu: lorsque le théâtre na­tional veut se produire dans un  certain lieu.

2. La demande d’une pièce de théâtre étrangère, auprès du service culturel de l’ambassade du pays concerné.

b. Propositions ou demandes financières ou admini­stratives.

1. La demande d’un financement  auprès du minis­tère de tutelle.

2. La demande d’une réglementation pour un voyage à l’étranger, auprès du ministère des affaires étrangères.

C. Lorsque les demandes ou propositions se font à l’intérieur même du théâtre.

Dans ce cas il y a deux sortes de subdivisions. La première concerne la direction (vers le haut ou vers le bas), c’est-à-dire:

1. Vers le haut: lorsqu’un employé fait une demande auprès de son chef de département ou directement à la direction centrale (directeur général ou conseil d’admi­nistration). Ce type de demandes peut être de toute sorte: changement de spécialité, d’horaire de travail, diver­ses protestations et propositions.

2. Vers le bas: lorsque la direction centrale ou le chef d’un département veulent communiquer avec leurs inférieurs. Ici il s’agit souvent de recommandations ou de reproches diverses. Il s’agit aussi d’annonces de la direction centrale, comme le répertoire, les licenci­ements, les engagements etc.

La deuxième subdivision concerne les rapports entre les divers départements, surtout lorsque dans ces rapports interviennent des questions financières. Les divers dé­partements d’un théâtre national peuvent communiquer entre-eux directement et ceci est le cas le plus répan­du dans ces rapports. Pourtant lorsque les décisions sont hautement importantes (pour des raisons économiques ou artistiques) ou lorsqu’ aucun des départements concer­nés ne peut prendre à sa charge la responsabilité des diverses décisions extrêmement importantes, alors ils sont obligés de communiquer via le protocole et ceci dans un double but:

1. De faire, publiquement, part de leurs problèmes afin que ces problèmes  soient “attendus” par la direc­tion centrale. Autrement ils risquent de ne pas pouvoir contacter la direction centrale qui est habituée à un tel processus.

2. D’inscrire  -faire enregistrer- dans le livre de protocole, le problème, en donnant une analyse la plus détaillée que possible afin que  -surtout dans le cas de questions financières- les sommes d’argent sous discus­sion soient  connues, tant au sein du théâtre même, que présentées à un éventuel contrôle étatique.

   En général, dans ce dernier cas, ce qui est demandé est l’intervention officielle d’un  supérieur dans les problèmes présents et concernant non des questions arti­stiques mais surtout administratives ou financières. Les départements qui utilisent le plus cette méthode sont: 1) la direction des services techniques, puisque sous son contrôle se trouvent tous les services techniques du théâtre, la majeure partie de tous les départements d’un théâtre national, 2) la direction de la scène qui est la direction la plus nombreuse: sous ses ordres se trou­vent cent dix acteurs et une trentaine d’autres employés de diverses spécialités.

  Dès le début de la fondation des théâtres nationaux le protocole est devenu indispensable, mais pour des rai­sons administratives et bureaucratiques: la peur d’une exploitation, économique ou administrative, néfaste ou non-conforme, a donné naissance à ce service qui, au cours des années est devenu de plus en plus nécessaire et important. Néanmoins ce service ne peut apporter au­cune amélioration au niveau artistique et il est plutôt nuisible pour des établissements comme les théâtres qui, par leur nature même, essaient d’échapper au bureaucra­tisme pour offrir au public une oeuvre purement artisti­que.

La direction de l’économie

Une des trois directions d’un théâtre nati­onal est celle qui s’occupe des affaires économiques du théâtre et qui s’appelle direction de l’économie. A l’in­térieur de cette direction se trouvent trois départements qui sont dirigés par le directeur de l’économie. Ces trois départements sont : a. – la Comptabilité, b. – les Pro­visions, c. – la Gestion de l’argent. Chacun de ces dé­partements a son propre chef, ainsi au total dans cette direction y a-t-il un directeur et trois chefs. En ce qui concerne les employés de chaque département, leur nombre doit même être précisé par le R.I.,  ce qui signifie que chaque théâtre national peut avoir sa propre organisation et un nombre d’employés spécifique à son organisation. Dans le théâtre national d’Athènes, les employés se ré­partissent comme suit: comptabilité: quatre personnes, provisions: trois, gestion de l’argent: deux. Dans le T.E.G.N. les chiffres correspondants sont cinq, quatre, deux respectivement, tandis que pour la  Scène Lyrique il y a une autre situation numérique: deux, trois, deux.

    Cette différence pousse à une série de réflexions. Puisque le nombre des productions théâtrales par an est, pour les trois théâtres nationaux grecs, à peu près le même (autour de quatorze) pourquoi y a-t-il ce décalage dans le nombre des employés des trois directions respe­ctives de l’économie? Comment, par exemple, le dépar­tement de la comptabilité de la Scène Lyrique réussit à couvrir les besoins du théâtre avec deux employés seulement alors qu’en même temps, le T.E.G.N. en demande cinq? Il faut signaler ici que le schéma d’organisation des trois théâtres nationaux français (Odéon-Chaillot-Colline) est beaucoup plus souple a ce niveau.

   Est-ce une question qui a un rapport avec le nombre total des acteurs et des autres employés ou bien une affaire qui doit être réglée par un règlement intérieur ? Pour faciliter notre réflexion supposons que le nombre des artistes -le seul chiffre qui peut toujours varier parce que chaque pièce a sa propre distribution- est le même dans tous les théâtres natio­naux grecs. Il y a, en premier lieu, un paramètre qui vient de l’extérieur des théâtres nationaux et qui peut donner une certaine mesure des “dimensions” idéales de cette direction en ressources humaines. Il s’agit des moyens inventés par les  théâtres privés grecs, pour couvrir leurs besoins respectifs en comptabilité. Selon notre enquête, ces théâtres choisissent deux voies possibles: soit ils emploient leur propre personnel com­ptable et régulier -engagé dans leurs entreprises par des contacts de type déterminé-  soit même ils confient ces travaux à des agences comptables individuelles. Dans la deuxième catégorie il est extrêmement difficile de calculer le nombre d’employés nécessaires car ces derniers travaillent également pour les besoins comptables d’autres entreprises. Seule est évidente la première catégorie, à savoir celle du personnel propre au théâtre privé. Ici les chiffres sont plus clairs: un ou deux comptables suffisent pour couvrir les besoins de toute une troupe théâtrale (personnelle, artistique et technique) qui varie de 20 à 80 personnes. Il convient de remarquer ici que dans ce cas l’on ne peut pas procéder à des calculs comparatifs: alors qu’un théâtre prive produit une seule production par an, un théâtre public quatorze. De plus, si un comptable peut servir quarante personnes à lui seul, il est certain que, grâce au progrès technologique, il pourrait en faire le double ou le triple de cela. Ce qui est certain, pourtant, qu’en moyenne, les onze employée de la direction de l’économie d’un théâtre national sont un chiffre qui correspond à peu près à ce­lui du privé, c’est-à-dire à un type d’entreprise qui est connu pour sa rigueur et son austérité.

Il est néanmoins beaucoup plus nécessaire pour la suite de notre réflexion de connaître le processus sui­vi par chaque département dans les théâtres  nationaux, ainsi que les interactions possibles entre-eux.

1. Le département de la comptabilité. Ici se font tous les travaux concernant le budget annuel du théâtre ainsi que tous les comptes partiels de cette affaire. Les employés de ce département, dirigés par leur chef, qui à son tour est dirigé par le directeur de l’économie, doivent couvrir avec la plus haute précision, tous les besoins financiers du théâtre. Ces besoins sont divisés en trois catégories :

1ere catégorie: Le contrôle numérique de l’argent public (entrées et sorties)

2eme catégorie: Les changements sous-jacents de la valeur de tout objet -de toute taille- du théâtre national, surtout à cause des hausses de l’inflation dans l’économie nationale.

3eme catégorie: La vente de tout article.

  Ce département est le plus important dans cette di­rection, puisqu’il est le seul qui puisse à tout moment, donner les dimensions de la situation économique exacte du théâtre national auquel il appartient. Ceci, bien évidemment à condition que les comptes tenus suivent une formule adaptée à la situation réelle des théâtres natio­naux et qu’ils soient organisés selon les méthodes les plus convenables pour les besoins comptables du théâtre.

     En ce qui concerne le contrôle numérique de l’argent public, il faut savoir que les travaux nécessaires à cela sont de deux types: a) les entrées d’argent qui se font par l’intermédiaire d’une banque. Une seule per­sonne suffit pour effectuer la correspondance offici­elle avec le ministère de tutelle sur les dates et les façons par lesquelles ces entrées peuvent avoir lieu b) les sorties qui se font dans le théâtre et en toute direction pour lesquelles les théâtres nationaux ont des obligations financières régulières (ex : salaires) ou exceptionnelles (ex: emploi du personnel artistique non prévu). Deux personnes sont suffisantes à cet effet, une pour les obligations régulières et une autre pour celles exceptionnelles, mais selon notre enquête ces deux personnes peuvent être occupées parallèlement à d’autres travaux, car il s’agit d’obligations qui n’exi­gent pas un temps considérable.

   Le suivi des changements sous-jacents de la valeur de tout article peut être la  tâche d’une seule personne mais puisqu’il s’agit d’un travail qui ne se fait pas quotidiennement  (une ou deux fois par an, selon les in­dications de la comptabilité nationale) cette personne peut être occupée à d’autres travaux de cette direction.

   Les ventes des articles est une affaire d’une nature totalement différente car, puisqu’ ici il s’agit d’un ser­vice public, donc des objets publics, toute action pa­reille doit se faire après l’approbation correspondante du C.d’A. En régie générale le C.d’A. nomme une commis­sion partielle (de trois personnes maximum chaque fois) qui doit procéder:

a)  à une estimation financière des articles qui sont destinés à la vente, b) au choix final  de l’acheteur qui est le plus proche, de tous côtés (juridique, financier etc.) à ces achats. Deux personnes faisant partie du C.d’A, et une troisième du personnel  régulier du théâtre sont, en général suffisantes pour ce type d’actions.

2. Le département des provisions. En collaborati­on étroite avec le département de la comptabilité, ce dé­partement travaille sur les provisions, c’est-à-dire sur les achats auxquels le théâtre national doit procéder pour le bon fonctionnement de tous les services et sur­tout pour les productions théâtrales. Il arrive que ce département s’occupe des ventes d’articles, ce qui ne se fait pas assez souvent. Il s’agit d’une activité qui peut apporter des sommes d’argent considérables, en plus du fait qu’elle déchargera le théâtre national de certains objets qui, au cours des années deviennent inutiles. En effet, il s’agit d’un département névralgique puisqu’il doit collaborer avec tous les départements du théâtre tout au long de l’année et il doit “pousser” ces départements à connaître longtemps à l’avance à quels achats et à  quels prix ils vont procéder -affaire assez difficile- pour arriver à terme de leurs buts annuels.

En ce qui concerne le nombre d’employés nécessaires dans ce département il faut savoir que les achats de tout article se font à tout moment et sont des actions imprévisibles, tant en ce qui concerne le nombre ou la valeur des objets qui doivent, chaque fois être achetés, qu’aussi la fréquence de ces actions. Ainsi il est assez difficile de calculer avec exactitude le nombre de per­sonnel nécessaire à de tels travaux. Il est évident néanmoins que pour des achats réguliers et de valeur médiocre, une seule personne est suffisante. Cette per­sonne peut  s’occuper parallèlement d’autres travaux.

3. Le département de la gestion de l’argent. Ce­ci est un département d’une importance mineure, puisqu’il ne fait effectivement que de contrôler le paiement des salaires aux employés. Du simple fait que ses fonctions ne sont pas nombreuses, il est souvent chargé d’autres tâches, comme par exemple dans le théâtre d’Etat de la Grèce du nord, où ce département s’occupe du règlement complet des charges sociales (sécurité sociale, indemni­tés de  chômage, retraités) de tous les employés du thé­âtre national.

   Le paiement des employés est effectué désormais à l’aide d’un ordinateur et un certain nombre de postes (deux, selon notre  enquête) est aboli après ce change­ment. Pourtant une personne est toujours indispensable pour faire fonctionner l’ordinateur et une autre (ou plusieurs) qui apportent à cette première les informa­tions nécessaires pour son fonctionnement. Pour le reste des travaux il suffit une personne.

   Après cette analyse, il apparaît clairement qu’entre ces travaux, il n’y a pas de cloisonnements, car il s’agit de spécialisations qui appartiennent à la même caté­gorie de connaissances, celle de l’économie. Ainsi un employé qui peut travailler à la gestion financière, peut aussi travailler pour les provisions on la comptabilité etc. Il est de plus certain que nul ne peut empêcher les déplacements internes du personnel entre ces divers postes, ni pour de longues périodes, ni pour quelques jours ou semaines. En même temps il est évident que ces tra­vaux s’entremêlent et que chacun d’eux a besoin de l’autre pour aboutir au terme (ex: pour les achats de tout article il faut connaître ce que la comptabilité spécifique trimestrielle en dit).

Conclusion

La réflexion menée dans ces dernières pages concernant le nombre idéal d’employés nécessaires pour les travaux de la direction de l’économie, ne peut aboutir à un chiffre exact, ni pour chaque département séparément,  ni pour la direction de l’économie dans son en­semble. Seul un règlement intérieur peut préciser ce chiffre, mais de manière à laisser un certain degré de liberté à la direction quant aux fluctuations des besoins de ce département.

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